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Vaccins : tous expérimentaux


Preuves qu’ils le sont tous

Si vous  espérez que les vaccins fassent l’objet d’une évaluation sérieuse, vous êtes victime d’une regrettable croyance ; depuis 200 ans que les vaccins ont été inventés par ce cher Pasteur, il en va ainsi, faisant de nous et surtout de nos enfants de simples cobayes. Il faut savoir qu’aucun médicament, et même aucun cosmétique ne seraient légalement autorisés à la vente avec un cahier des charges aussi laxiste, ceci ramenant TOUS les vaccins à de simples produits expérimentaux, et la vaccination en général, à la plus grande expérimentation SANS CONSENTEMENT jamais réalisée dans l’histoire de l’humanité.

Voici les quatre raisons majeures qui permettent d’affirmer cela :

1 – JAMAIS on ne compare l’effet des vaccins avec celui d’un vrai placebo (substance neutre), opération basique pour toute expérimentation médicamenteuse.

En fait, on inocule d’autres substances ou vaccins connus pour leur grande toxicité en tant que (faux) placebo ; cette façon de procéder “dilue” les effets collatéraux du nouveau vaccin puisque, par contraste, les effets toxiques du faux placebo se trouvent ainsi mis en valeur. Cette supercherie permet aux fabricants de conclure que “le nouveau vaccin a un profil de sécurité acceptable par rapport aux (faux) placebo”.
Un des pseudo-arguments scandaleux des officiels pour justifier la non réalisation d’études comparatives réellement scientifiques, est de décréter que cela ne serait pas éthique (quel culot !!!). Mais dire cela, revient à poser en postulat, sans aucune preuve scientifique, que globalement il est évident que le vaccin fait forcément plus de bien que de mal.

Une VRAIE Science ne doit jamais refuser de faire face à des vérités dérangeantes qui risquent de nuire à des intérêts financiers en jeu. On est donc ici dans un système hypocrite qui estime plus éthique de préserver le chiffre d’affaire de Big Pharma, quitte à entrainer de la casse parmi la population ainsi réduite au niveau d’animaux de laboratoire.

2 – Il n’y a jamais aucune étude sur les effets secondaires des vaccins à long terme.

On sait pourtant que les maladies auto-immunes post-vaccinales peuvent prendre des mois voire des années pour se déclarer. Par exemple, les effets secondaires de Gardasil n’ont été évalués que sur seulement 14 jours après chacune des doses ; pour Engerix B (vaccin hépatite B), 5 jours seulement ; pour Twinrix (vaccin anti-hépatite B et A imposé aux professionnels de santé) 4 jours seulement selon des documents confidentiels de la firme. Et là aussi, ce sont des vaccins contenant notamment de l’aluminium.
Par comparaison, il faut savoir que les effets des contraceptifs oraux ont eux été évalués sur des décennies !

3 – Contrairement aux autres médicaments, les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique.

Cette analyse est pourtant capitale puisqu’elle consiste très précisément à étudier le devenir et la répartition des différents composants du médicament une fois administré (donc : comment les composants se diffusent, où ils vont se loger, s’ils persistent ou non, et si oui, où et pendant combien de temps, comment ils sont métabolisés, comment ils sont éliminés et par quelle voie etc.). Ce genre d’études serait pourtant d’autant plus indispensable que, contrairement aux médicaments, en cas d’effets indésirables, une fois que c’est injecté, c’est irréversible ! Si cela avait été réalisé, des dizaines de  milliers de cas de maladies dégénératives graves auraient pu être évités.

4 – Plus grave encore, les vaccins sont dispensés (là encore contrairement aux autres médicaments) de tests destinés à évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène.

Il s’agit de leur capacité d’induire un cancer, une mutation de notre ADN (dont certaines débouchent aussi sur des cancers) et de maladies dans la descendance (pendant que l’on préconise désormais des vaccinations aux femmes enceintes contre la grippe et bientôt contre la coqueluche ! Les notices francophones ne mentionnent plus que les vaccins sont dispensés de ces tests, sans doute pour ne plus trop rebuter les patients, alors que les notices américaines des vaccins identiques, de même composition, continuent, elles, à le mentionner. Ce passe-droit est d’autant plus scandaleux que les vaccins contiennent différents composants notoirement cancérogènes dont le pire, le formaldéhyde, épinglé par le CICR !

En conséquence :

Si ces études avaient été réalisées de façon rigoureuse et indépendante, vaccin par vaccin, avant de comparer des populations ayant reçu plusieurs types de vaccins à la fois, et que ce genre d’études avaient réellement montré que la santé des gens vaccinés n’est pas sensiblement moins bonne que celle des gens réellement non vaccinés, alors et seulement alors, cela aurait un sens et ce serait éthique de promouvoir la vaccination.
Alors et seulement alors, on pourrait dire que la vaccination n’est pas expérimentale et qu’elle a réellement été évaluée scientifiquement.
Alors et seulement alors, les experts officiels seraient crédibles quand ils affirment que la vaccination est non dangereuse.

Mais compte tenu de ces carences graves concernant TOUS les vaccins, et de l’attitude coupable  des pouvoirs publics qui consiste à promouvoir cette EXPERIMENTATION HUMAINE SANS CONSENTEMENT, il est légitime de déclarer ILLEGALE et contraire au Code de Nuremberg, cette pratique criminelle.
Oui, qui se rappelle du Code de Nuremberg toujours en application (théorique) qui a été rédigé suite aux atrocités expérimentales des deux guerres mondiales, dont voici un extrait d’une présentation disponible sur youtube du Dr Delépine, sur les essais cliniques actuels en cancérologie :

Tribunal de Nuremberg 1947

  • En 1948, le tribunal allié, réuni à Nuremberg, a examiné les pratiques des médecins nazis.
  • Ont été considérés comme crime contre l’humanité les essais thérapeutiques réalisés :
  • Sans le consentement libre des sujets,
  • Constituant une menace pour leur vie ou leur intégrité physique,
  • Même si l’essai avait pu être motivé par un besoin de santé publique.
  • Les médecins reconnus coupables ont été exécutés.

Nota : Il y en a quelques uns qui actuellement, en application du code de Nuremberg, auraient dus aussi être exécutés.

Médecins, journalistes, avocats, hommes ou femmes politiques, adolescents, futurs parents, malades chroniques, voyageurs, … nous sommes tous concernés et nous devons, sur base de ces carences règlementaires graves, savoir désormais quoi exiger, quoi dire devant les tribunaux et quoi modifier au niveau des législations concernées. L’avenir, la santé et l’intégrité des générations futures dépendront en grande partie de notre capacité collective à exiger et à obtenir ces mises aux normes règlementaires.

Source info : www.initiative citoyenne.be