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La maladie de Lyme


La borreliose

Voilà un syndrome complexe pour lequel je suis souvent contacté et devant lequel la médecine officielle est démunie. Il s’agit d’une maladie endémique induite par certaines tiques porteuses d’un micro-organisme spiralé, le Borrelia burgdorferi.
Les troubles ont été identifiés pour la première fois à Lyme, dans le Connecticut, puis dans d’autres États d’Amérique. Cette affection se développe terriblement en Europe depuis quelques années. Le problème réside dans le fait que les symptômes sont paradoxaux, ce qui fait que, souvent, le malade n’est pas pris au sérieux. De plus, ces symptômes peuvent varier considérablement d’un malade à l’autre.

Liste des troubles possibles (non exhaustive) :

* Algies arthritiques locales ou généralisées,
* Erythème chronique et migratoire,
* Etats dépressifs,
* Fibromyalgie,
* Inflammation destructive du tissu cardiaque,
* Lupus,
* Maladie d’Alzheimer,
* Maladie de Crohn,
* Méningo-encéphalite,
* Neuropathies diverses,
* Syndrome de l’intestin irritable,
* Syndrome de la fatigue chronique,
* Sclérose multiple,
* Troubles de la mémoire,
* Troubles divers indéfinissables.

Il est à noter que la maladie se développe en deux phases : l’incubation, allant de plusieurs semaines à quelques années, puis des poussées aux intersaisons, aux anniversaires des piqûres, et même lors de grosses contrariétés. Les troubles sont accompagnés d’une augmentation de la vitesse de sédimentation, mais les tests classiques de la médecine officielle ne décèlent rien. Les traitements aux antibiotiques se révèlent catastrophiques, car, pendant qu’ils sécurisent les malades sur le moment, ils obligent le parasite de s’infiltrer plus profondément dans l’organisme.

Aux Etats- Unis, 1,8 million de cas ont été détectés, mais les experts considèrent que ce chiffre ne représente que 10 % de la réalité, en raison du défaut d’identification de la maladie, ce qui porterait le nombre de sujets atteints(qui s’ignorent souvent) à 18 millions.
Curieusement, l’on détecte actuellement de nombreux cas dont l’origine remonte à 15 ans et plus, et qui ont stagné silencieusement sous une forme enkystée depuis, avant de se manifester.

Comment cela commence ?

Vous allez vous promener dans les bois, une tique se laisse tomber d’un arbre, et toc ! Vous tombe dessus. La sale bête étant munie d’une vrille perce immédiatement un petit trou dans votre peau (sous anesthésie), rentre la tête, et verrouille son ancrage avec les pattes. Là, elle peut à loisir se gorger de votre sang jusqu’à ce que vous vous aperceviez éventuellement qu’une petite boule émerge de votre peau. Rappelez-vous qu’il existe en pharmacie des kits de « démonte-tiques », sorte de mini pied-de-biche avec lequel on dévisse la tique dans le sens anti horaire. (Il ne faut pas l’arracher, la tête étant verrouillée restera.)
Une autre méthode consiste à mettre du savon de Marseille liquide sur la tique qui sortira toute seule ne pouvant plus respirer.

En tout état de cause, à chaque retour de promenade, bien explorer la surface de la peau, surtout celle qui n’était pas protégée par les vêtements. A noter qu’il faut éviter d’appuyer sur le ventre du parasite rempli de votre sang, car cela le ferait régurgiter dans votre système sanguin avec l’éventuel Borrélia si la tique est infestée. Il convient toujours de désinfecter l’endroit avec une huile essentielle telle que GIROFLE par exemple. En principe, l’infestation peut se manifester dans les 3 à 30 jours par l’apparition d’un érythème migrant (rougeur ronde qui grandit), ce qui donne lieu à une alerte que l’on pouvait traiter précédemment in situ au « tic tox », une composition spécifique d’huiles essentielles, jusqu’à ce qu’il soit curieusement interdit – mais dans 50% des cas il peut hélas n’y avoir aucune manifestation visible.

Tests d’identification et différentes variétés

Pour lever le doute, il existe un pré-test français 0 positif – 0 négatif qui coûte 29 €, mais qui n’est fiable qu’à 30% car il n’est pas suffisamment spécifique. Ce pré-test est un passage obligé pour accéder au test Western Blott qui est plus fiable (quoi que…) et qui coûte 48 €.
Il y a 800 sortes de tiques répertoriées dans le monde abritant près de 25 types de Borrelia dont :

Le burgdorferi (américain) – qui entraîne des inflammations musculaires et articulaires très douloureuses amenant progressivement au fauteuil roulant.
Le garinii (européen) – neurotoxique qui amène des maladies neurologiques diverses, par exemple au niveau optique ou auditif.
L’afzelii (asiatique) – qui donne des manifestations cutanées tardives
Le lusitiana (Portugal).
Le japonica (Japon)…

Le Borrelia peut se manifester sous 3 formes principales : SPIRALÉE, en L, ou KYSTIQUE, et passer de l’une à l’autre forme selon ses besoins stratégiques de survie. La maladie de Lyme est d’autant plus complexe à identifier qu’elle peut donner lieu à plus de 300 symptômes plus ou moins aléatoires d’ordre physique et psychiques, et allant en s’aggravant avec le temps, jusqu’à devenir dramatiques, tels que douleurs arthritiques paralysantes, fibromyalgie, myocardites avec troubles rythmiques graves, dépression et confusion mentale, fatigue chronique, etc., ceci se manifestant toujours par poussées.

Les traitements classiques

La plupart des traitements officiellement proposés sont des antibiotiques et des corticoïdes ; ils sont décevants, inefficaces et même dangereux puisqu’ils ne font que faire retrancher le parasite dans des organes de plus en plus profonds et de plus en plus vitaux (souvent le cœur) sans jamais l’éliminer. En effet, tous les médicaments du type stéroïde, corticoïde ou immuno-suppressifs sont contre-indiqués ; tous les médicaments immuno-dépressifs sont à proscrire.
NOTA : Rappelez-vous que la médecine est tenue des moyens mais pas des résultats !

Stratégie d’attaque symptomatique

Le Borrelia produit en permanence des neurotoxines qui s’accumulent dans l’organisme qui à un moment de saturation a un besoin impératif de se purger. C’est une condition de survie. Généralement, ce sont les organes les plus faibles qui sont atteints en premier lieu. La première chose à faire est d’éliminer un maximum de toxines, ce qui aboutit à faire régresser rapidement les symptômes les plus pénibles.

Donc, premier geste : CHARBON ACTIVÉ : 1 cuil. à soupe matin et soir dans de l’eau froide jusqu’à résolution de la poussée. (Boire beaucoup d’eau car le charbon a tendance à dessécher l’intestin.) Le charbon crée en plus une barrière au niveau intestinal dans le trajet migratoire classique du Borrelia : tissus graisseux – bile – sang – nerfs. Il faudra réitérer la cure de neutralisation des toxines à chaque fois que des poussées se manifesteront.
Cde : https://apoticaria.com/products/carbophyt-eliphe-ca8?ref=4

Mais attention, se rappeler que le charbon absorbe les médicamentations éventuelles …..et la pilule !

Protocole curatif : le Sanchlore

C’est la seule méthode avec laquelle j’ai obtenu des guérisons définitives.

                  • Mettre dans un verre 1 goutte de chlorite de sodium et ajouter 5 gouttes de jus de Citron pressé pour transformer le chlorite en dioxyde de chlore ionique. (ClO²–)
                  • La réaction demande 3 minutes à sec, puis ajouter de l’eau (non javellisée). Boire aussitôt. On peut ajouter du jus de fruit pour le goût.
                  • Faire cela matin et soir
                  • Chaque jour, ajouter une goutte de chlorite de sodium et 5 gouttes de citron par goutte de chlorite – ex : 10 gouttes de citron pour 2 gouttes de chlorite… 15 gouttes pour 3 gouttes, etc
                  • Monter progressivement selon la tolérance à 12 gouttes matin et soir, et continuer 15 jours avant de redescendre à 6 gouttes sur plusieurs mois si nécessaire et surtout jusqu’à cessation des troubles.
                  • Si une nausée se fait sentir, ne pas attendre les vomissements et la diarrhée – baissez le dosage et bloquez tout par un petit verre de bicarbonate de soude (25 g par demi-litre d’eau à avoir sous le coude).
                  • Puis reprendre prudemment l’augmentation ou en rester au dernier dosage selon votre ressenti. Noter que les réactions possibles sont plus désagréables que dangereuses.

Nota :
– Vous pouvez trouver une fiche technique détaillée sur le fonctionnement du MMS dans « Prenez en main votre santé »  tome 3.  (Avec l’expérience j’ai un peu modifié le protocole).

        • Sanchlor :
          Cde : https://apoticaria.com/products/sanchlor?ref=4

              • Il existe une autre méthode pour gagner du temps dans l’activation, au lieu de citron on utilise un activateur fournit dans un kit, soit de l’acide citrique à 50% soit de l’acide chlorhydrique à 4%. C’est moins naturel mais beaucoup plus pratique car on divise par 6 le temps d’activation.
                • Mettre dans un verre vide une goutte de chlorite de sodium et une goutte d’acide citrique 50% (Kit Sanchlor) ou d’acide chlorhydrique 4% (Kit chlorite de sodium), agiter le verre pour faire en sorte que les deux gouttes sont en contact et se mélangent.
                • Attendre 20-30 secondes que la réaction se fasse, remplir le verre d’eau ou de jus de fruit et boire immédiatement. Ne pas attendre plus de 30 secondes sinon le gaz s’évapore et l’action devient nulle.


Pour commander les kits :

Et aussi le Feralen

Si l’on veut éviter la forte odeur de chlore qui se dégage du verre ou si l’on veut aider les proches qui ne sont pas trop ouverts à l’idée de prendre un produit à usage sanitaire détourné, le Feralen peut constituer une excellente alternative.
Il est constitué d’un radis oriental rustique, non traité et non muté, le Cochlearia rusticana, utilisé traditionnellement pour renforcer le système immunitaire. Ce radis est très riche en peroxydases, et surtout en catalase qui est une enzyme antioxydante permettant d’éliminer dans les tissus le peroxyde d’hydrogène (H2O2) résiduel, en le transformant en dioxygène (O2) et en eau (H2O), ce qui provoque dans l’organisme une libération d’oxygène stabilisé.
Son action est donc très proche de celle du Sanchlor, l’avantage étant qu’il est proposé sous forme de gélules et l’on évite le goût de chlore dans la bouche.

Cde : https://apoticaria.com/products/feralen?ref=4