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L’impasse du transgénique (OGM) et de l’agriculture chimique


Céréales à très haut rendement, fruits énormes, nouveaux légumes, récoltes résistantes aux maladies, animaux magasins pour la greffe d’organes, invention de nouvelles espèces vivantes tous azimuts…. d’humains pourquoi pas, de zombies-robots aussi (ça peut être très utile), les scientifiques ont un terrain de jeu illimité, se donnant la sensation grisante de concurrencer le Créateur, de le surpasser peut-être !???… Mais quel prix allons-nous – nous et nos enfants – payer cette folie ?

J’avais signalé il y a quelques années dans un numéro de Vérités Santé Pratique, les remarquables travaux d’un chercheur pluridisciplinaire, Jean-Pierre Perez, auteur de l’ouvrage Planète transgénique” (Édition Espace Bleu), qui a mis en évidence en 1990, l’architecture mathématique de l’ADN.
En effet, il a pu montrer que les bases de l’ADN se structuraient suivant une curiosité mathématique (1-1-2-3-5-8-13-21-34-55-89-144…) nommée suite de Fibonacci.
On remarquera que 1+1=2 ; 2+1=3 ; 3+2=5 ; 5+3=8 ; 8+5=13… et que, d’autre part, la proportionnalité entre deux nombres successifs est constante et égale approximativement à 1,618 – qui est le fameux nombre d’or.

Cette règle de construction est appliquée à tous les règnes du vivant. Lorsque l’on introduit une séquence dans une chaîne ADN avec un gène extérieur – son positionnement se faisant de façon aléatoire et incontrôlable – l’harmonie de Fibonacci est faussée et boiteuse. La nature n’aura ensuite de cesse, pendant les mois, les années voire, les siècles qui suivront, de reconstruire le schéma initial, ou un schéma harmonieux. Mais cette mutation passera probablement par des virus, c’est-à-dire par des maladies et des souffrances…

Par ailleurs, si nous nous référons aux travaux de feu Jacqueline Bousquet, chercheur honoraire au CNRS, nous apprenons que chaque cellule comportant un centriole à la fois mini-ordinateur et mini-internet, dialogue en permanence avec des références extérieures, générant ainsi à tout moment des réactions d’adaptation et d’évolution. C’est le principe des champs morphogéniques.
Mais une fois le système génétique falsifié, détraqué, les récepteurs génétiques intercellulaires deviennent incapables de décoder les informations extérieures. Le système devient figé et fermé sur lui-même par privation de références.

Un tel système vivant ne peut subsister dans ces conditions que par l’intermédiaire d’un champ magnétique qui sert de ciment, en quelque sorte, à sa cohérence. Or, nous avons déjà évoqué la chute progressive du magnétisme terrestre. Cette démagnétisation risque d’être fatale à tout ce qui est coupé des références vibratoires ambiantes alimentant la vie.
Curiosité de préconfirmation : Le Système PLOCHER, activateur biologique naturel, capable de rendre un lisier inodore, de nettoyer des lacs, et d’augmenter la vitalité des plantes et des animaux, et qui fait périr les fruits et légumes issus de groupes hybrides et poussés hors sol dans des liquides chimiques.

Tout ce qui n’a pas été retenu par la nature est voué à un avenir précaire.
La riposte de la planète à la folie des hommes est déjà en train de s’accomplir.

Par ailleurs, les engrais chimiques ont dégradé la qualité nutritive des céréales. En mettant en place l’utilisation forcée des engrais chimiques à partir des années 60, puis des croisements anarchiques de “sur-intensifs”, et enfin, l’arrivée des multiples hybrides (automatiquement stériles) en 1985, les industriels-cultivateurs céréaliers n’ont apporté à leurs clients/consommateurs qu’une bien piètre qualité protéique (la partie nourrissante de l’aliment). Cette qualité protéique est passée de 40% en 1960 à moins de 13 % en 1995. Aujourd’hui, on trouve des céréales à plus de 85% d’amidon pour moins de 10% de protéines !

On ne peut qualifier ceci que par le terme de vol, subtilisation, tromperie, puisque d’un côté, on a laissé croire à la population que c’était “de la bonne farine issue de bon blé”, tandis que l’État faisait soigneusement disparaître la notion du rapport gluten/protéines des critères de mesures officielles. Depuis près de 20 ans, on  ne parle plus qu’en termes d’indices Zélény, Hagberg, Chopin… Mais qui comprend ces termes ?

Ce qui est sûr c’est que tout ce qui est artificiel
ne saurait être qu’un palliatif sans avenir.